Se détendre
La Musique des Highlanders du Cap-Breton
Cette collection de pièces spécialisées et de succès populaires comprenait des chansons composées dans deux langues – l’anglais et le gaélique.
« Des poèmes tragiques, des poèmes nostalgiques »
La Seconde guerre mondiale fut moins poétique que la Première, mais les rangs de l’armée canadienne campée en Italie comptaient assez de poètes amateurs pour constituer cette collection de textes, tous publiés à l’origine dans le journal militaire « The Maple Leaf ».
La Musique du nouveau monde
Diffusé par Radio-Canada du 17 août au 5 octobre 1944, ce programme hebdomadaire célébrait les œuvres de compositeurs canadiens tels Healey Willan, J.J. Weinzweig, J.J. Gagnier et Alexander Brott.
Le pendant américain du poème «In Flanders Fields»
Le célèbre poème de John McCrae inspira plusieurs textes semblables, comme celui de R.W. Lillard, réimprimé dans une brochure distribuée lors d’une exposition de trophées de guerre à Philadelphie, en Pennsylvanie.
A nos héros, les hommes en kaki
Ce concert, typique des célébrations patriotiques en temps de guerre, introduit des pièces musicales d’artistes locaux et l’un des groupes de musique militaire de la ville, et comprit une conférence intitulée «Sur la terre comme sur la mer, avec nos vétérans».
Un soldat-poète rapatrié
Âgé de presque cinquante ans lorsqu’il s’enrôla dans le 193e bataillon, Stanley Fullerton, d’Amherst en Nouvelle-Écosse, connut des troubles de santé et ne put se rendre qu’en Angleterre.
Le soldat-poète irlandais
Al Pat, ou «le soldat-poète irlandais», avait servi dans l’infanterie pendant la Première guerre mondiale, et avait décrit son expérience dans une collection intitulée «Rhymes of an Old War Horse». Devenu sergent au sein de l’Aviation royale canadienne pendant la Seconde guerre mondiale, il publia ce volume de mirlitons détaillant la vie sur les divers aérodromes canadiens.
Un poète de guerre méconnu
Le Néo-écossais John Bradford servit en tant qu’officier pendant la Première guerre mondiale, et sa poésie fut inspirée de sujets insolites, tels des réfugiés arméniens ou l’histoire d’un cheval tué sur le front.
«Une marine combative qui tient tête à l’ennemi»
Au terme de la Seconde guerre mondiale, ce poète amateur, originaire de la Nouvelle-Écosse, publia un hommage en vers à la Marine royale canadienne, ainsi qu’à son dirigeant politique, Angus L. Macdonald.
Le divertissement en temps de guerre
Quatre troupes, les Originals, les London Life Troupers, le Tweedsmuir Revue et le London Little Theatre mirent en scène des performances pour divertir les hommes et les femmes en uniforme et amasser des fonds pour le Citizens Auxiliary War Services Committee.