Dons

Le recyclage du caoutchouc

A partir de 1943, le Japon contrôlait jusqu’au trois-quarts des réserves mondiales de caoutchouc brut. Le recyclage devint ainsi une pratique essentielle à l’effort de guerre des Alliés.

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Manuel des porte-paroles de la Croix-Rouge canadienne pour la campagne nationale

Ce manuel offre des instructions aux porte-paroles de la Croix-Rouge canadienne, pour les aider à atteindre leur objectif financier de cinq millions de dollars pour la campagne nationale de 1940. Il comprend de l’information sur la façon dont les dons seront octroyés, ainsi que des extraits de discours incitant les auditeurs à donner.

Donner le don de vie

Le don de sang était d’une importance encore plus grande en temps de guerre qu’en période de paix, à cause des besoins de «transfusions d’urgence aux forces de Sa Majesté ainsi qu’aux civils victimes de la guerre».

Vingt dons de sang

Pendant la Deuxième guerre mondiale, le don sanguin représentait un acte patriotique, et l’accumulation de vingt dons par Mark Laversohn fut reconnue par un certificat spécial.

Le besoin de sang

Grâce aux avancées médicales et technologiques dans le domaine des transfusions sanguines pendant la Première guerre mondiale, le sang put être entreposé et envoyé de façon plus sécuritaire pendant la Seconde guerre mondiale – entraînant un besoin grandissant de donneurs.

Du sirop d'érable pour les soldats

Indiquant que les villes canadiennes avaient été généreuses envers les oeuvres de charité de guerre, l'IODE demandait aux communautés rurales de donner du sirop d'érable, un bien introuvable en Europe, pour les soldats canadiens.

Étiquettes de collecte de fonds

Durant la Première guerre mondiale, des étiquettes en papier étaient vendues pour collecter des fonds pour des causes multiples; en les portant, les donateurs démontraient publiquement leur soutien à l'effort de guerre.

Soutenir la Croix Rouge canadienne

Le don de la famille Eyford équivaut à environ 47$ de 2012, un don généreux de la part d'une communauté rurale.

Des cuisines aux champs de bataille

Un des impératifs de la guerre était que rien ne soit perdu -les femmes au foyer étaient ainsi encouragés à recycler les graisses et les os qui contenaient de la glycérine, un composant essentiel à la fabrication des explosifs.

Merci pour les cigarettes ...

De nombreux groupes canadiens dont le Club Kiwanis de Vancouver ainsi que les employés et leurs proches du "British Columbia Overseas Fund", du "Tobacco and Hamper Fund" de Toronto, Ontario, envoyaient des cigarettes aux soldats et recevaient des cartes postales de remerciements en retour.