Manuels d'entraînement
Les qualités propres aux officiers
L’objectif de ce manuel était d’offrir aux officiers inexpérimentés un aperçu des qualités qu’ils devaient posséder : le savoir, la loyauté, la fermeté et l’équité.
L’application de la puissance de feu de l’infanterie
Ce manuel, publié pendant la Seconde guerre mondiale, rappelait aux soldats quelles étaient les conditions requises à l’application efficace de la puissance de feu de l’infanterie, incluant la précision, la discipline et la capacité de bien évaluer les distances.
Construire des réseaux de barbelés
Le 215e Bataillon du Corps expéditionnaire canadien employa ce manuel à des fins d’entraînement. L’ouvrage regroupait des connaissances accumulées sur deux ans d’expérience en défense de positions capturées.
Voter en Ontario
Les élections en temps de guerre engendraient une nouvelle catégorie d’électeurs : ceux qui portaient l’uniforme. En Ontario, ce droit fut étendu aux hommes qui en étaient habituellement privés, incluant ceux de moins de vingt et un ans et les membres des Premières nations, à condition qu’ils servent dans l’armée.
Êtes-vous en bonne forme?
Comme ces règlements l’illustrent, les pré-requis médicaux des volontaires au Corps expéditionnaire canadien étaient très exigeants. En réalité toutefois, le criant besoin de troupes signifiait que plusieurs conditions médicales sérieuses étaient souvent ignorées.
L’Avantage des explosifs
Au moyen de ce livre, le Sergent Coleman du Régiment royal canadien chercha à compenser le peu de temps consacré à l’entraînement à la grenade en offrant des trucs pratiques sur son maniement, son déclenchement, son lancer, et sur les diverses manières de fabriquer des bombes dans les tranchées.
Comment survivre dans les tranchées
Cette brochure, dont le contenu est le produit de trois ans d’expérience de guerre de tranchées, traitait de tous ses aspects, de la manière de réagir aux attaques de gaz aux rations de rhum.
Mes hommes sont-ils enthousiastes?
Quelques mois seulement avant la bataille de la crête de Vimy, le commandant du Corps canadien Lord Byng démontra autant d’intérêt pour le confort de ses soldats que pour les tactiques – et encourageait ses officiers à faire de même.
Tuer dans un combat au corps à corps
Ce manuel d’entraînement soutient que l’usage efficace de la baïonnette demandait « une bonne précision, force et rapidité, malgré l’adrénaline et la fatigue physique ».
Comment assurer le bonheur et l’efficacité de l’équipage
La supervision efficace des matelots, normalement répartis en quatre divisions (gaillard, grand-hune, hune, pont), dépendait grandement de la générosité de l’officier, de son humour, et de son bon sens – des qualités décrites dans ce manuel de formation.