Se détendre
« Ils volent, ils chantent, et s’élèvent dans le ciel »
Cette chanson parvint au Canada probablement lors de la Bataille d’Angleterre en 1940, alors que la défense du territoire britannique contre les bombes allemandes dépendait des pilotes de Grande-Bretagne et de l’empire.
La plus grande chanson jamais composée
L’infortune de la Grande-Bretagne dans l’effort de guerre était grande lorsque cette chanson fut composée en 1941, et elle empira lors de l’année suivante – malgré la reconnaissance qu’éprouvait le monde envers le pays.
V pour Victoire
« Point point point tiret » est devenu l’un des codes identificateurs de l’effort de guerre allié les plus facilement reconnaissables, et se trouvait sur une grande variété de biens de consommation – y compris sur les partitions musicales.
En l’honneur des autres brancardiers
Albert Drummond était infirmier à Halifax, en Nouvelle-Écosse, lorsqu’il joignit les rangs du Corps médical de l’armée canadienne en décembre 1916. Il servit éventuellement outre-mer auprès de la quinzième Ambulance de campagne. A en juger par le titre des poèmes, ce volume fut vraisemblablement publié en 1917.
D’une mère à son fils
Par les sentiments qu’elle évoque et son langage, cette partition musicale aurait très bien pu dater de la Première guerre mondiale – seule l’image floue d’un char d’assaut sur la couverture la situe dans le contexte de la Seconde.
«Un Führer affaibli »
Cette version chantée de la célèbre marche militaire «Colonel Bogey» fut enregistrée par le Happy Gang, l’un des groupes musicaux les plus populaires pendant la Seconde guerre mondiale.
« Pour en finir avec Hitler »
Bien qu’elle ait probablement été composée en 1939, cette chanson, par la réjouissance qu’elle exprime en réaction à la guerre imminente, paraît dater plutôt de 1914.
Ancient Free and Accepted Masons
Déjà au mois de mai 1916, la Loge Wascana de Regina avait vu vingt-six de ses membres joindre les rangs de l’armée en service actif.
D’Ypres à la victoire
Ces cartes souvenirs, dont l’art est signé Lewis E. Smith, furent produites en 1919 pour commémorer les événements importants de la Première guerre mondiale, notamment par les poèmes qu’ils inspirèrent.
Chanter sur le chemin de la guerre
Ce recueil de chansons, qu’un homme d’affaires originaire d’Hamilton en Ontario offrit aux soldats, comprenait une grande variété de pièces, d’ « Eternal Father, Strong to Save » à « Stop Yer Tickling, Jock ».