Le bénévolat
Texte d'introduction
Soutenez l'Emprunt pour la Victoire
Cette pancarte était conçue pour être placée aux fenêtres des maisons ou des entreprises afin de témoigner que le propriétaire avait soutenu la campagne pour l'Emprunt de la Victoire.
Epargne de guerre pour Noël
Cette petite carte d'une compagnie d'assurance avait pour objectif de rappeler aux Canadiens de soutenir l'effort de guerre au moment de Noël en achetant des Certificats d'épargne de guerre.
Sauver l'effort de guerre
Comme de nombreux Canadiens, Annette Waterman de St Thomas, Ontario a investi massivement dans l'effort de guerre canadien en achetant des bons d'épargne de guerre et des obligations pour la Victoire.
Un guide pour les Canadiens à Londres
Grâce à ce guide, les Canadiens en permission à Londres pouvait trouver des hébergements, des clubs, des centres d'accueil tenus par des associations comme le YMCA, les Chevaliers de Columbus ou encore l'Armée du Salut.
Tricoter avec style et parcimonie
La Compagnie de lainage Monarch était l'une des plus grandes firmes textiles canadiennes. en temps de guerreSes magazines de gabarits permettaient aux familles de coudre leur propres vêtements avec les moyens à leur disposition tout en restant attrayant.
Préserver l'effort de guerre
Cette illustration patriotique servait de couverture à une parabole sur la valeur de la frugalité en temps de crise, originellement publiée en 1938.
Soutenez l'effort de guerre avec votre argent
Ce tract débute ainsi : "Dans notre coeur vit un esprit héroïque". Il montre comment ceux qui ne peuvent combattre devraient acheter des obligations pour la Victoire.
Du ravitaillement pour les troupes sur le front
Au début de la Première guerre mondiale la Commission Canadienne pour le confort sur les champs de bataille était la principale organisation à envoyer des vêtements, de la lecture, des articles hygiéniques et des sucreries aux soldats sur le front.
Des chaussettes pour la France
. Un soldat pouvait rarement avoir trop de paires de chaussettes. Cette oeuvre de charité française avait des bureaux à Paris, Montréal, Toronto et Milwaukee, Wisconsin.
Un chargement de cigarettes
Cigarettes could be ordered direct from the manufacturer in Canada and shipped to a soldier overseas for just $1 per 300 cigarettes, or $2.50 per thousand. Les cigarettes pouvait être commandées directement à un fabricant au Canada et expédiées à un soldat outre-mer au prix de $1 pour 300 ou $2.50 pour mille.