Se battre

Mes hommes sont-ils enthousiastes?

Quelques mois seulement avant la bataille de la crête de Vimy, le commandant du Corps canadien Lord Byng démontra autant d’intérêt pour le confort de ses soldats que pour les tactiques – et encourageait ses officiers à faire de même.

Tuer dans un combat au corps à corps

Ce manuel d’entraînement soutient que l’usage efficace de la baïonnette demandait « une bonne précision, force et rapidité, malgré l’adrénaline et la fatigue physique ».

Comment assurer le bonheur et l’efficacité de l’équipage

La supervision efficace des matelots, normalement répartis en quatre divisions (gaillard, grand-hune, hune, pont), dépendait grandement de la générosité de l’officier, de son humour, et de son bon sens – des qualités décrites dans ce manuel de formation.

De Montréal au front de l’Ouest

Le portrait de groupe officiel était devenu un rituel pendant la Première guerre mondiale. Cette photo d’artilleurs, recrutés pour renforcer les unités au front, inclut de nombreux soldats qui paraissent très jeunes et qui semblent être sous la limite de taille permise pour le service militaire.

«Dans l’intérêt de l’entretien mécanique»

CAM était en quelque sorte la bible des mécaniciens de l’armée canadienne pendant la Seconde guerre mondiale – mais la publication se distinguait également par le graphisme de ses couvertures.

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La Conférence de Québec

En août 1943, le Canada accueillit le président américain Franklin D. Roosevelt, le Premier ministre britannique Winston Churchill, ainsi que plusieurs commandants et fonctionnaires haut gradés provenant des nations alliées, afin de planifier la prochaine étape du conflit les opposant à l’Allemagne et au Japon.

Les officiers «Canloan»

Les lourdes pertes au sein des rangs des officiers de l’infanterie britannique entraînèrent la création d’un programme de prêt d’officiers canadiens formés, dont on disposait en grand nombre, aux unités britanniques sur le terrain.

Le Corps de santé royal canadien recrute !

Cette carte de recrutement est typique, en ce qu’elle promet d’amener les volontaires au front rapidement, mais elle se distingue également en vantant l'utilité d'une telle formation pour le développement professionnel après la guerre.

«Gaz! Gaz! Vite, les gars!»

Pour les soldats qui s’entraînaient lors de la Première guerre mondiale, le masque à gaz n’était pas qu’une pièce d’équipement essentielle, mais également parfois un drôle d’accessoire pour faire la pose devant la caméra.

Un homme en habit de combat

Ce discours du Lt. Col. James Mess encourage le recrutement de jeunes hommes dans l’armée canadienne.