Se battre

Vu l'importance prise par le fil barbelé au cours de la première guerre mondiale, il n'est pas surprenant que la formation des soldats pour la seconde guerre mondiale s'y soit attardé.

La série "Le Canada en guerre" avait pour objectif de fournir les informations les plus à jours aux porte-parole et à ceux des citoyens qui désiraient en savoir plus sur la participation canadienne à la guerre. Il était mis à jour tous les mois et contenait les faits et chiffres les plus récents.

Il a été délivré ce laissez-passer Fleetwood Berry de Meaford, Ontario, afin qu'il s'absente de son cantonnement à Toronto en 1917. Des laissez-passer identiques étaient délivrés aux soldats en permission.

Une image patriotique classique de la Première guerre mondiale, par l'artiste britannique Cyril Cuneo.

"On ne s’embète pas ici! Venez donc avec nous dans le 150ème Bataillon" - une carte postale pour le recrutement dessinée par l'artiste Louis Keene et expédiée depuis Amherst, Nouvelle Ecosse, où l'unité montréalaise s’entraînait.

Un officier d’infanterie de Winnipeg, Manitoba, utilisait ce manuel de l'armée britannique durant la seconde guerre mondiale.

Carl Atkins a été exempté au nom de la loi sur le service militaire en raison de son incapacité physique pour le service armé.

Cette feuille était distribuée comme présentation d'un club de repos pour les soldats de l'Empire durant la Première guerre mondiale.

Ces messages ont été délivré à toutes les unités canadiennes à la veille du débarquement du 6 juin 1944.

Le soldat Harold Drake, comme tous ses compagnons d'armes, avaient besoin de la permission de son officier commandant pour se marier et devait fournir des documents pour se faire.