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La compagnie R.J Inglis était un commerce de costumes depuis 1875 avec des bureaux à Montréal, Québec et Winnipeg, Manitoba. La compagnie fabriquait, réparait, et retouchait des habits civils et militaires et vendait par ailleurs des accessoires militaires comme des fourreaux pour les épées et des insignes pour les uniformes.

Afin de répondre à la demande d'articles laineux pour les militaires, ce bulletin appelait une augmentation nationale du nombre de moutons d'élevage et à une baisse de l'usage civil de la laine.

Une courte étude de l'industrie du papier de bois avant et pendant la Seconde guerre mondiale, avec des projections sur l'avenir.

Ce texte était conçu pour montrer la valeur du travail féminin dans le secteur de la fabrications des munitions grâce à des photographies prises au Canada par la Commission impériale des munitions.

Cette entreprise de papeterie informait sur les efforts de collecte de fonds et sur le sort de ses employés sous les drapeaux dans sa lettre d'information mensuelle.

L'auteur, un vétéran de la Première guerre mondiale et professeur d'économie à l'Université Queen's, discute de l'importance du commerce international pour la prospérité du Canada.

Plusieurs artistes canadiens argumentent en faveur des valeurs culturelles, spirituelles et récréatives de leurs semblables en temps de guerre comme en temps de paix.

Cette brochure étudie le présent, le passé et le futur de l'agriculture canadienne à la lumière de la Seconde guerre mondiale.

Cette brochure reprend le débat sur la façon d'exploiter au mieux les ressources forestières canadiennes pendant et après la Seconde guerre mondiale.

Cette étude sur l'industrie sidérurgique canadienne s'ouvre sur un truisme militaire : "Les combattants apprécient l'acier. Eux comme nous voulons le distribuer autant que l'éviter.