Retour à la vie civile

Retour au bercail

Cette brochure informe les soldats sur tous les aspects de leur retour au pays, la guerre étant terminée.

Homeward Bound.pdf (9.32 Mo)

L’après-guerre et le marché de l’emploi

Ce manuel décrit les services gouvernementaux offerts aux soldats rapatriés, y compris les programmes de formation professionnelle et les services sociaux, et propose des astuces sur les façons de percer le marché de l’emploi.

La Marine marchande du Canada

Cette brochure décrit les contributions de la Marine marchande du Canada à l’effort de guerre national, et présente les compensations gouvernementales reçues en échange de son service.

La vie au sein de la société civile

Un guide, composé en 1945, traitant de la recherche d’emploi sur le marché d’après-guerre, de l’achat d’une propriété immobilière, et de plusieurs aspects de la réintégration en société civile pour les soldats rapatriés.

La Gratification de service de guerre, 1945

La Gratification des services de guerre, versée lors du congé donné aux hommes et femmes en uniforme, était calculée selon la durée du service au pays et outre-mer. Sur cette fiche de travail, un soldat de l’Île-du-Prince-Édouard détermina que sa gratification était de 668,30$, soit un peu plus de 9100$ aujourd’hui.

Qu’on est bien chez soi !

Une image idyllique du foyer, une sorte de memento qui réconforta les Canadiens en uniforme pendant les longues années de guerre.

Préparer le «cessez-le-feu»

En 1940, la Canadian Legion War Services lança une campagne de financement pour soutenir le travail éducatif et social que l’organisation réalisait pour les hommes en uniforme, pour faciliter leur retour à la vie civile et au marché de l’emploi.

Help Plan.pdf (13.05 Mo)

Rebienvenue au Manitoba

Les bons semblables à cette carte étaient communs après la Première guerre mondiale, mais moins après la Seconde. Cette carte est rare en ce qu’elle fait mention des prisonniers de guerre libérés et ceux étant tombés malades.

Des vétérans honnêtes

A cause des problèmes de fraude liés à l’identification des vétérans, quiconque portait un badge de service militaire après la Seconde guerre mondiale devait aussi présenter des preuves officielles confirmant qu’il y était autorisé.

Apprendre un métier pour l’après-guerre

Un aspect de la stratégie de démobilisation du gouvernement fédéral fut d’offrir des cours de formation à l’emploi aux hommes et aux femmes en uniforme, pour les préparer à la vie d’après-guerre. Le corporal Nelson, du quartier général de l’Aviation royale canadienne (Division des femmes) à Vancouver, décida d’apprendre le métier de tailleur.