Relaxing

Vues du camp de Shorncliffe

Un soldat du Nouveau Brunswick a envoyé cette enveloppe à sa famille en 1916 pour lui montrer son foyer temporaire, un camp de tentes au sud de l'Angleterre.

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Fanfares militaires

Durant la Première guerre mondiale, de nombreuses unités avaient des fanfares qui jouaient pour les troupes ou donnaient des concerts pour les populations proches des campements. Ici les fanfares du 1er Bataillon, 3ème "Canadian Convalescent Depot", 23ème Bataillon (réserve), 37ème, 43ème, 85ème, 92ème, 131ème et 161ème Bataillon ainsi que d'autres unités non identifiées.

Mariées de guerre

Durant la Première guerre mondiale, plus de 35.000 Canadiens épousèrent des femmes britanniques. Etant donné les restrictions de guerre, ces mariages étaient souvent modestes.

Des livres derrière les barbelés

Les Canadiens pouvaient envoyés des livres à leur proche prisonnier de l'ennemi, mais uniquement au travers de compagnies qui avaient l'autorisation de censure postale leur permettant de prendre en charge de telles expéditions.

Comme un chevalier médiéval..

Ce message de Noël dresse une connection directe entre un chevalier médiévale et un modeste soldat de la Seconde guerre mondiale.

Un combat pour les soldats

Une foule considérable était réuni pour voir deux soldats canadiens s'affronter pour le championnat de boxe à Seaford, un camp militaire au sud de l'Angleterre en avril 1919.

Envoyer des colis aux troupes

Afin d'assurer une livraison efficace du courrier aux unités outre mer, les Canadiens étaient encouragés à utiliser des étiquettes standards et à s'assurer que les paquets ne dépassaient pas la limite de 11 livres.

Colis pour les prisonniers de guerre

Afin de réduire les délais d'acheminement, les paquets destinés aux prisonniers de guerre canadiens un Allemagne devaient être accompagnées d'une déclaration de contenu.

"Tout va bien"

La méthode courante de communication sans fil trans atlantique était le radio-télégraphe. Les Canadiens sous les drapeaux envoyaient des messages grâce aux services de télégramme de la compagnie Marconi Canada.

Les voeux de Noël d'un Highlander

Le 134ème bataillon de la Force Expéditionnaire canadienne a été levé par le 48ème Highlanders de Toronto. Il ne vit jamais le feu mais fut démantelé pour fournir des renforts à d'autres bataillons.

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