Correspondence

Une carte postale du Camp Debert, à Truro, en Nouvelle-Écosse

La carte postale représentait le médium habituel de correspondance entre les soldats et leurs proches, et cela, bien avant l’ère des courriels. Cette collection rare montre les membres de l’infanterie canadienne s’entraînant et relaxant au Camp Debert en Nouvelle-Écosse, vers 1942.

Allez, le Canada!

L’imagerie de cette carte postale paraît mieux convenir à la Première qu’à la Deuxième guerre mondiale, mais elle démontre la force du sentiment impérial durant les années 1940.

La croix, le fusil et la feuille d’érable

Les symboles militaires, religieux et nationaux se confondent dans cette carte postale produite durant la Deuxième guerre mondiale pour le marché québécois.

Saluts de Folkestone

Des souvenirs comme celui-ci donnaient une vision enjolivée de la vie dans les camps du Corps Expéditionnaire Canadien, avec des photos d'une cérémonie religieuse, d'un orchestre militaire, d'une visite royale, et d' "un repas festif pour les célibataires".

"Rendez heureux nos héros"

Les soldats outre-mer chérissaient le courrier venu depuis l'arrière, ce sur quoi cette compagnie de Toronto fondait des espoirs pour la vente de ses produits.

Armée, Marine et Aviation

Cette carte postale, publiée au début de la Seconde guerre mondiale, comprenait un topo sur les trois formes de services et décrivait le drapeau de combat du Canada, représenté en arrière-plan.

Il y aura toujours une Angleterre

Cette carte postale patriotique de la Seconde guerre mondiale utilisait un vers de la fameuse chanson de Vera Lynn.

"Ne commencez pas à me dire que je suis un idiot"

Un soldat non identifié de Colombie Britannique donnait les raisons de s'engager dans le 50ème Régiment, les Gordon Highlanders, décrivait son entraînement avec la Cavalerie de Colombie Britannique et mentionne des attaques contre des commerces tenus par des allemands à Victoria.

Une lettre aéropostée d'outre mer

Les lettres aéropostées comme celle ci étaient distribuées aux hommes et femmes en service au Royaume Uni. Elles étaient prioritaires dans le transport. Chaque personne en recevaient 4 par mois.

Pour des conversations plus privées

Toutes les lettres écrites par les soldats étaient normalement censurées par leurs officiers, mais ils pouvaient demander des enveloppes vertes à Privilège (ou Honneur). Ces lettres n'étaient pas censurés par les officiers mais par les autorités postales à l'arrière, et permettaient aux soldats d'écrire sur des sujets personnels qu'ils pouvaient ne pas avoir envie de partager avec leurs officiers.