Se détendre
La Musique du nouveau monde
Diffusé par Radio-Canada du 17 août au 5 octobre 1944, ce programme hebdomadaire célébrait les œuvres de compositeurs canadiens tels Healey Willan, J.J. Weinzweig, J.J. Gagnier et Alexander Brott.
Chanter sur le chemin de la guerre
Ce recueil de chansons, qu’un homme d’affaires originaire d’Hamilton en Ontario offrit aux soldats, comprenait une grande variété de pièces, d’ « Eternal Father, Strong to Save » à « Stop Yer Tickling, Jock ».
La Musique des Highlanders du Cap-Breton
Cette collection de pièces spécialisées et de succès populaires comprenait des chansons composées dans deux langues – l’anglais et le gaélique.
« Des poèmes tragiques, des poèmes nostalgiques »
La Seconde guerre mondiale fut moins poétique que la Première, mais les rangs de l’armée canadienne campée en Italie comptaient assez de poètes amateurs pour constituer cette collection de textes, tous publiés à l’origine dans le journal militaire « The Maple Leaf ».
Ancient Free and Accepted Masons
Déjà au mois de mai 1916, la Loge Wascana de Regina avait vu vingt-six de ses membres joindre les rangs de l’armée en service actif.
D’Ypres à la victoire
Ces cartes souvenirs, dont l’art est signé Lewis E. Smith, furent produites en 1919 pour commémorer les événements importants de la Première guerre mondiale, notamment par les poèmes qu’ils inspirèrent.
« Pour en finir avec Hitler »
Bien qu’elle ait probablement été composée en 1939, cette chanson, par la réjouissance qu’elle exprime en réaction à la guerre imminente, paraît dater plutôt de 1914.
«Un Führer affaibli »
Cette version chantée de la célèbre marche militaire «Colonel Bogey» fut enregistrée par le Happy Gang, l’un des groupes musicaux les plus populaires pendant la Seconde guerre mondiale.
En l’honneur des autres brancardiers
Albert Drummond était infirmier à Halifax, en Nouvelle-Écosse, lorsqu’il joignit les rangs du Corps médical de l’armée canadienne en décembre 1916. Il servit éventuellement outre-mer auprès de la quinzième Ambulance de campagne. A en juger par le titre des poèmes, ce volume fut vraisemblablement publié en 1917.
D’une mère à son fils
Par les sentiments qu’elle évoque et son langage, cette partition musicale aurait très bien pu dater de la Première guerre mondiale – seule l’image floue d’un char d’assaut sur la couverture la situe dans le contexte de la Seconde.
V pour Victoire
« Point point point tiret » est devenu l’un des codes identificateurs de l’effort de guerre allié les plus facilement reconnaissables, et se trouvait sur une grande variété de biens de consommation – y compris sur les partitions musicales.
« Ils volent, ils chantent, et s’élèvent dans le ciel »
Cette chanson parvint au Canada probablement lors de la Bataille d’Angleterre en 1940, alors que la défense du territoire britannique contre les bombes allemandes dépendait des pilotes de Grande-Bretagne et de l’empire.
La plus grande chanson jamais composée
L’infortune de la Grande-Bretagne dans l’effort de guerre était grande lorsque cette chanson fut composée en 1941, et elle empira lors de l’année suivante – malgré la reconnaissance qu’éprouvait le monde envers le pays.
Un Noël en uniforme
Jim Taunton, de Verdun au Québec, passa le Noël de 1940 en uniforme, après s’être enrôlé dans la Black Watch de Montréal.
Des voeux de Noël de la part d’un vétéran
Une organisation de vétérans manitobains imprima cette carte pour ses membres à Noël, et choisit d’y présenter une citation judicieuse de Sir Arthur Currie pour l’occasion.
Noël dans les tranchées
Ce soldat écrit qu’il «tenait encore le coup» lors des fêtes de 1917. A-t-il survécu à la guerre ?
Une carte pour maman
Cette unité hospitalière fut établie à Dundurn, en Saskatchewan, en septembre 1940, et s’installa outre-mer au début de l’année 1942. La carte de Glen, destinée à sa mère, fut rédigée quelques jours avant le débarquement des Canadiens à Dieppe.
Une carte d’anniversaire des forces aériennes
Saisissant une opportunité d’affaire, ce fabricant entreprenant a peut-être simplement pris une carte d’anniversaire des années d’avant-guerre pour y mettre en relief le timbre de l’Aviation royale canadienne.
La croix, le fusil et la feuille d’érable
Les symboles militaires, religieux et nationaux se confondent dans cette carte postale produite durant la Deuxième guerre mondiale pour le marché québécois.
«Une propagande anti-propagande»
Lawrence Hunt était un avocat de New York qui se fit connaître en tant que critique de l’isolationnisme américain durant la Seconde guerre mondiale. Ses écrits furent diffusés dans une grande partie de l’Empire britannique, et il devint un orateur populaire dans le circuit des conférences de guerre.