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Ce guide décrit les monuments, l’architecture et les attractions touristiques populaires après des soldats alliés à Paris, après la libération de la ville durant la Deuxième guerre mondiale.

La consommation d’essence était contrôlée au Canada pendant la guerre, grâce à l’emploi de livrets de coupons de rationnement comme celui-ci.

Du fait que les combats avaient lieu dans des régions méconnues des Canadiens, les cartes géographiques des zones de guerre étaient particulièrement populaires, puisqu’elles vulgarisaient des événements complexes et permettaient aux civils de bien comprendre les dernières nouvelles en provenance du front.

Le magnat de la presse britannique Lord Northcliffe publia une histoire contemporaine de la Grande guerre, dont les profits furent versés à la British Red Cross Society et à l’Ordre de saint Jean.

Ces photos, peut-être prises à Vancouver, montrent un étalage consacré à la publicité encourageant l’achat de timbres d’épargne de guerre.

Citant un vers du poète Frederick George Scott, une compagnie d’assurances s’inspira du patriotisme de la Première guerre et de ses stratégies publicitaires.

Cette simple brochure, publiée à Saint Jean au Nouveau-Brunswick, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de pamphlets offrant aux femmes de la publicité ainsi que des astuces sur la façon de gérer les pénuries de temps de guerre.

La peinture de Longstaff était très populaire et largement reproduite, mais qui ne fut pas offusqué de voir une entreprise funéraire la diffuser à des fins publicitaires?

Afin de capitaliser sur l'humeur général du public, Dodds-Simpson Press a fait parvenir ses publications aux familles canadiennes dont l'un des membres était sous les drapeaux - leurs adresses ayant été communiquées par le gouvernement fédéral.

Le gouvernement fédéral mit en place des limites strictes sur l'achat d'essence pendant la Seconde guerre mondiale, mais des suppléments étaient disponibles pour les occasions particulières.