World War II
Diner de Noel dans les barraquements Champlain
Pour célébrer les festivités de fin d'année 1943, le centre d'entraînement numéro 26 de l'Armée Canadienne à Orillia, Ontario, avait organisé un diner. Ce menu a été sauvegardé par le membre de la police montée A.E Stone.
Vivre sur la solde d’un soldat
Au moyen de suggestions de menus, d’astuces nutritionnelles et de conseils budgétaires, cette brochure vise à aider les femmes de militaires à tirer le meilleur parti du salaire de leur époux et des allocations familiales versées aux personnes à charge.
Boxe en temps de guerre
Les 3 canadiens en compétition, des hommes de l'Artillerie Royale Canadienne, n'eurent pas grand succès dans cette réunion d'Aldershot en 1940 mais ce fut sans doute une distraction bienvenue des rigueurs de l'entraînement.
Leçons de lutte anti-tank
Ecrite en 1939, cette brochure de formation était distribuée avant que les armées Britanniques ou Canadiennes aient pu acquérir de l'expérience dans ce domaine.
Achetez canadien
Cette affiche, probablement à l'intention des vitrines, rappelait aux consommateurs qu'acheter des produits canadiens soutenait les travailleurs locaux et contribuait au maintien de la devise.
Silence de ta part - convoi à bon port
Dans cette petite affiche, un marin canadien invite chacun à garder le silence afin d'éviter de révéler des informations sensibles qui pourraient aboutir à la perte d'un navire.
Somme en cash pour les vétérans
Pour répondre à l'une des demandes les plus pressantes des vétérans de la Grande Guerre, le gouvernement canadien a promulgué la loi sur les Prêts pour Service de guerre au cours de la Seconde guerre mondiale. Elle octroyait à tous les vétérans une somme forfaitaire basée sur la durée de leur service, leur rang et la taille de leur famille.
Les souvenirs d'un aviateur
John Bridgman de Roseland, Ontario, a rejoint l'Aviation Royale Canadienne en 1943 et été formé pour être bombardier à St Johns, Québec. Parmi ses souvenirs de guerre figurent un certificat indiquant qu'il a complété un tour d'opération et des photographies aériennes prises au cours de bombardements auquel il a participé.
La Croix Rouge à l'oeuvre
Cette carte postale, en vente pour récolter des fonds pour la Croix Rouge canadienne, illustrait le travail de cette dernière en direction des prisonniers de guerre.
Le YMCA en guerre
Portrayant un soldat imaginaire de Votreville, Canada, cette brochure offrait un aperçu des activités de la YMCA durant la Seconde guerre mondiale.
Venez au quartier canadien
Les Chevaliers de Colomb avaient un bureau pour les Canadiens en permission à Paris. Avec on équipe de volontaires anglophones, le "Quartier Canadien" pouvait organiser des visites guidées, des parties de golf, des sorties au théâtre - et même des diners avec une comtesse française.
Des jeux pour les prisonniers de guerre
L'ennui était un des grands défis auquels étaient confrontés les soldats canadiens prisonniers en Allemagne durant la Seconde guerre mondiale, mais les organisations charitables faisaient ce qu'elles pouvaient pour envoyer des jeux pour passer le temps.
Les industries de guerre au Manitoba
Cette publication gouvernementale présentait les succès de l'industrie du Manitoba, tel que la firme d'aviation des frères MacDonald de Winipeg, qui assemblait le bi-moteur Avro Anson utilisée par l'aviation du Commonwealth britannique.
Un anniverssaire au cachot
Ce dessin datant de la Seconde guerre mondiale faisait rire sur un sujet sérieux - un soldat soumis aux rigueurs de la discipline militaire.
Armée, Marine et Aviation
Cette carte postale, publiée au début de la Seconde guerre mondiale, comprenait un topo sur les trois formes de services et décrivait le drapeau de combat du Canada, représenté en arrière-plan.
Des habits à la mode pour le soldat canadien
La couture était une activité très populaire parmi les bénévoles. Des livres tels que celui ci fournissait des gabarits pour toutes sortes de vêtements.
Économiser et soutenir la guerre
Au cours de la Seconde guerre mondiale, même les enfants étaient mis à contribution pour l'effort de guerre.Un enfant pouvait acheter des bons d'épargne de guerre pour 25 cents pièce; après avoir atteint la somme de 4$ en bons ils pouvaient faire parvenir ce formulaire au gouvernement fédéral et recevoir un bon équivalent à 5$.
Préserver vos maisons des bombes incendiaires
Parce que l'aviation allemande avait utilisé des bombes incendiaires avec des efffets si dévastateurs sur Varsovie, Rotterdam et Londres, les Canadiens étaient prévenus à se préparer à de telles attaques sur leurs maisons et lieux de travail.
D'Hamilton à la guerre
John "Jack" Smith est né en Ecosse en 1906 et émigra au Canada à l'adolescence. Il s’enrôlât tôt au cours de la Seconde guerre mondiale, servit dans le 5ème Ambulance de Campagne du Corps médical de l'Armée Royale Canadienne. Lorsqu'il était outre mer, il envoyait des instantanés et des souvenirs à sa famille à Hamilton Ontario afin de leur montrer certains aspects de la vie militaire : exercices de campagne, vie au campement, inspection par le Roi et la Reine et les environs de Spitzbergen, Russie, où il a été posté brièvement en 1941. Jack Smith est retourné au Canada après la guerre et est décédé en 1985.
Une autre guerre, un autre jour du souvenir
John Bridgman a servi dans le 5ème Bataillon de la Force Expéditionnaire Canadienne durant la Première guerre mondiale et fut blessé et rapatrié au Saskatchewan en 1917. Presque trente ans plus tard, il prit la parole au cours d'une cérémonie du souvenir à London, Ontario et fit part de ses expériences de guerre à des lycéens.