Relaxing

Naviguant vers la guerre

Cette brochure, imprimée à bord du bateau, n'aurait pas dépareillé sur une traversée en temps de paix. Néanmoins, les hommes et les femmes du 86ème Bataillon d'artillerie, du 224ème Bataillon Forestier, du 8ème Sanitaire et de la 4ème division d'approvisionnement en munition partaient à la guerre et pas en vacances.

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Les Highlanders de Nouvelle Ecosse au repos

En juin 1918, le 85ème Bataillon de la Force Expéditionnaire Canadienne, a organisé un dîner de gala et un bal pendant son repos loin de la première ligne. L'unité passa la plupart du reste de la guerre au combat.

Danse à l’hôpital

L’hôpital canadien de Granville, qui administrait des traitement orthopédiques aux blessés, resta en service jusqu'en septembre 1919, bien longtemps après que la plupart des soldats canadiens soient retournés dans leur foyer.

Pâques sur le front de l'Ouest

Les aumôniers canadiens servant en France ont distribué ces cartes aux troupes à l'occasion de Pâques 1915. Quelques uns d'entre eux passeront les 5 Pâques suivants loin de leur familles.

Un Bal de la Victoire

Une unité de police de l'Aviation Royale Canadienne a célébré la fin de la Seconde guerre mondiale avec style - dance et buffet au programme.

Une danse au lycée

C'était seulement 1942, mais les élèves de ce lycée d'Arthur, Ontario ont décidé de commencer leur programme de danse de la soirée par une "Danse de la Victoire".

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Il y aura toujours une Angleterre

Cette carte postale patriotique de la Seconde guerre mondiale utilisait un vers de la fameuse chanson de Vera Lynn.

"Ne commencez pas à me dire que je suis un idiot"

Un soldat non identifié de Colombie Britannique donnait les raisons de s'engager dans le 50ème Régiment, les Gordon Highlanders, décrivait son entraînement avec la Cavalerie de Colombie Britannique et mentionne des attaques contre des commerces tenus par des allemands à Victoria.

Le message d'un prisonnier de guerre

Elmer McKnight des Winnipeg Grenadiers était l'un des trois frères capturés par les japonais à Hong Kong en décembre 1941. Plus tard, il a formé en captivité un orchestre et leur version de cette chanson a été diffusé lors d'une émission de propagande japonaise. Elle a été entendu jusqu'au Canada où Gordon Thompson la publiât au profit d'un fond prévu pour les frères McKnight à leur retour à Winnipeg après la guerre.

L'esprit de la liberté

Malheureusement, rien n'est connu de ce morceau ou de la femme qui en a déposé les droits en 1941.