Poésie
« Des poèmes tragiques, des poèmes nostalgiques »
La Seconde guerre mondiale fut moins poétique que la Première, mais les rangs de l’armée canadienne campée en Italie comptaient assez de poètes amateurs pour constituer cette collection de textes, tous publiés à l’origine dans le journal militaire « The Maple Leaf ».
D’Ypres à la victoire
Ces cartes souvenirs, dont l’art est signé Lewis E. Smith, furent produites en 1919 pour commémorer les événements importants de la Première guerre mondiale, notamment par les poèmes qu’ils inspirèrent.
En l’honneur des autres brancardiers
Albert Drummond était infirmier à Halifax, en Nouvelle-Écosse, lorsqu’il joignit les rangs du Corps médical de l’armée canadienne en décembre 1916. Il servit éventuellement outre-mer auprès de la quinzième Ambulance de campagne. A en juger par le titre des poèmes, ce volume fut vraisemblablement publié en 1917.
Un voyage sur les rails
Ce simple poème esquisse les pensées d’un soldat de la Première guerre mondiale alors qu’il prenait le train pour quitter la Grande-Bretagne.
Le livre des proverbes antigermaniques
«Contenant plusieurs proverbes appelant à la destruction de l’arrogance de l’Allemagne, de sa tyrannie, vilenie, de sa scélératesse et de son militarisme odieux».
«Une marine combative qui tient tête à l’ennemi»
Au terme de la Seconde guerre mondiale, ce poète amateur, originaire de la Nouvelle-Écosse, publia un hommage en vers à la Marine royale canadienne, ainsi qu’à son dirigeant politique, Angus L. Macdonald.
Le soldat-poète irlandais
Al Pat, ou «le soldat-poète irlandais», avait servi dans l’infanterie pendant la Première guerre mondiale, et avait décrit son expérience dans une collection intitulée «Rhymes of an Old War Horse». Devenu sergent au sein de l’Aviation royale canadienne pendant la Seconde guerre mondiale, il publia ce volume de mirlitons détaillant la vie sur les divers aérodromes canadiens.
Un poète de guerre méconnu
Le Néo-écossais John Bradford servit en tant qu’officier pendant la Première guerre mondiale, et sa poésie fut inspirée de sujets insolites, tels des réfugiés arméniens ou l’histoire d’un cheval tué sur le front.
Un soldat-poète rapatrié
Âgé de presque cinquante ans lorsqu’il s’enrôla dans le 193e bataillon, Stanley Fullerton, d’Amherst en Nouvelle-Écosse, connut des troubles de santé et ne put se rendre qu’en Angleterre.
Le pendant américain du poème «In Flanders Fields»
Le célèbre poème de John McCrae inspira plusieurs textes semblables, comme celui de R.W. Lillard, réimprimé dans une brochure distribuée lors d’une exposition de trophées de guerre à Philadelphie, en Pennsylvanie.
Ode à la Grilse
Construit comme un yacht civil, le HMCS Grilse a été acheté par la Marine Royale Canadienne et transformé en lance-torpilles pendant la Première guerre. Il était de loin le navire le plus rapide de la flotte.
Histoires et poésies de la Grande guerre
A la fin du plus grand conflit que le monde est connu de nombreux Canadiens cherchaient à commémorer leurs expériences. Des brochures comme celles ci contenaient des poèmes et des histoires reflétant les expériences de guerre et revenant sur la signification des quatre années du conflit.
Pour le "Buctouche"
Ce poème dédié à la Corvette K179, connu sous le nom de HMCS Buctouche, a été trouvé dans les papiers du marin canadien James Mitchell de Waterdown, Ontario.
"Qui sont ces gars de la Marine?"
James Mitchell de Waterdown, Ontario, a servi dans la Marine Royale Canadienne pendant la Seconde guerre mondiale. Il gardait avec lui ce poème en honneur aux marins canadiens.
Philo Woitas, “Guerre”
En septembre 1939, un magazine religieux de Holland, Manitoba, a publié ce poème sur l'arrivée de la guerre.
Le Clairon - Jour du Dominion1916
Ce poème, imprimé à Prince Rupert, Colombie Britannique, est typique du type de vers sentimental qui était si courant lors de la Première guerre mondiale.
Poésies de soldat
Cette petite brochure était vendu par des soldats démobilisés pour récolter des fonds - elle pouvait être trouvée dans de multiples versions, chacune avec une couverture et au "auteur" différent.
Les gars du 134ème bataillion
Cette carte postale était une de la série destinée aux familles de soldats canadiens durant la Première guerre mondiale. Le 134ème bataillon était affilié au 48ème Highlanders de Toronto.
Une voix poétique depuis le front
Ce pourrait être la version originale de la brochure que des soldats démobilisés vendaient après la Première guerre mondiale pour récolter des fonds - "Les vers écrits dans la tranchée" par le soldat Nixon sont ultérieures.
Un Compliment à la virilité canadienne
Un soldat canadien a envoyé cette carte postale, avec ces versets en hommage à la virilité militaire, à sa mère en 1916.