Correspondence

Un soldat du Nouveau Brunswick a envoyé cette enveloppe à sa famille en 1916 pour lui montrer son foyer temporaire, un camp de tentes au sud de l'Angleterre.

Les Canadiens pouvaient envoyés des livres à leur proche prisonnier de l'ennemi, mais uniquement au travers de compagnies qui avaient l'autorisation de censure postale leur permettant de prendre en charge de telles expéditions.

Afin d'assurer une livraison efficace du courrier aux unités outre mer, les Canadiens étaient encouragés à utiliser des étiquettes standards et à s'assurer que les paquets ne dépassaient pas la limite de 11 livres.

Afin de réduire les délais d'acheminement, les paquets destinés aux prisonniers de guerre canadiens un Allemagne devaient être accompagnées d'une déclaration de contenu.

La méthode courante de communication sans fil trans atlantique était le radio-télégraphe. Les Canadiens sous les drapeaux envoyaient des messages grâce aux services de télégramme de la compagnie Marconi Canada.

Les insignes étaient un élément important de l'identité d'une unité pendant la Première guerre mondiale, et étaient un produit lucratif pour les éditeurs.

Cette carte postale, qui utilise la traduction du slogan français de la première guerre mondiale "Ils ne passeront pas", a été imprimé par la ville de Brantford, Ontario, probablement à l'été 1940, quand les armées allemandes faisaient peser la menace réelle d'un franchissement de la Manche.

La production de guerre avait besoin de nombreuses femmes pour travailler dans les usines de munitions et d'aviations. Cette carte postale reflète avec humour la transition des femmes de leur foyer au lieu de travail.

Les prisonniers de guerre en Allemagne avaient la permission d'envoyer deux lettres-formulaire de ce type chaque mois. Cet aviateur sud-africain a écrit celle-ci a une amie travaillant pour la Croix Rouge canadienne.

Une des nombreuses cartes postales humoristiques de la Première guerre mondiale, celle-ci fait connaître une recette pour défaire l'Allemagne impériale.